Comment les emballages cartonnent<span class="wtr-time-wrap after-title"><span class="wtr-time-number">2</span> minutes de lecture</span>

Comment les emballages cartonnent2 minutes de lecture

En effectuant de la recherche en neuromarketing, le Dr. Pradeep, a identifié, dans son livre, The Buying Brain, les facteurs clés de succès des emballages qui avaient les meilleurs résultats. Voici ces facteurs clés :

– La familiarité. Chez les hommes, les repères dans l’environnement immédiat sont importants. Chez les femmes, c’est plus le contexte général qui compte.

– La nouveauté. Le cerveau est un chasseur de nouveauté

– L’imagerie ou l’iconographie qui sont émotionnellement évocatifs permettent aux emballages de sortir du lot.

– Les scènes pour les choses que le consommateur a pu voir ailleurs comme à la télévision. Cela permet de créer artificiellement une sorte de familiarité implicite.

– Les visages et les regards.

– La symbolique : par exemple des vaches sur un emballage de lait de vache.

– La colorimétrie : emballage orange pour du jus d’orange. Notez que les influences culturelles ont un impact sur la réponse qui concerne la couleur.

– La police : très distinctive comme Coca-Cola. Mais évitez d’utiliser différentes polices sur un emballage, cela génère du désordre.

– La numérosité : pour augmenter la fluidité de traitement de l’information, montrez les photos d’emballage par cinq (ou moins de cinq), de sorte que le cerveau puisse la traiter plus vite.

– L’arrangement spatial : Placer les images sur la gauche et le texte sur la droite permet d’augmenter la vitesse de traitement par le cerveau.

– La prise en main de l’emballage doit être correcte

– La taille : il y a une corrélation entre la taille, la valeur perçue et l’acceptabilité d’un prix. En bref, plus le prix est important, plus le client s’attend à un emballage physiquement grand.

– Réciprocité entre l’image et la sémantique : Eviter que des mots ou des phrases soient écrits sur l’emballage sur des éléments visuels intéressants, de sorte qu’ils obstruent ces éléments visuels. Le cerveau aura tendance à ignorer la sémantique pour ne prendre en considération que le fond illustré, et à percevoir le texte comme une “distraction” en essayant de le supprimer.

– Les motifs qui facilitent naturellement un regard circulaire sont supérieurs à ceux qui ont des éléments qui sont arrangés de manière linéaire.

– Les emballages qui révèlent le produit ou une partie de celui-ci performent généralement mieux que les autres. (Par exemple lorsque le produit peut être vu à travers une partie de l’emballage).

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